Cette semaine, j'ai décidé d'un commun accord avec moi-même que je devais considérer Effets secondaires, le dernier film de Steven Soderbergh, comme étant un chef d’œuvre absolu du thriller pharmaceutique à twist final. S'agissant de sa pelloche de retraite annoncée à Matt Damon, cette œuvre devrait de tout le bon respect dont sont capables les ignorants abrutis envers des artistes ayant été lauréat de la Palme d'Or à Cannes acquérir un statut indéfectible de morceau incontournable de l'histoire du cinématographe durant les 50 prochaines années. J'y consens à la seule condition que Steven Soderbergh ne revienne jamais derrière la caméra.