La sélection de Donc Acte !

Donc Acte ! ne suit pas l'actualité cinéma à la loupe. Donc Acte !, qui s'est intitulé Le cinéphobe pendant une courte période, n'a pas pour passe-temps de visionner des pelloches de cinoche. Donc Acte ! ne va pas souvent voir une œuvre en salles. L'envie est rare. Le plaisir est d'autant plus intense lorsque je suis satisfait par une rencontre du 7ème art. Certains films m'inspirent des réflexions ; c'est ce que je souhaite partager. Je ne propose pas de thèses et il m'arrive de gâcher les histoires en racontant la fin. Vu que je ne mets pas ce qui a été fait de l'invention des frères Lumière sur un piédestal et que je suis des fois moqueur, Donc Acte ! peut ne pas plaire.

samedi 15 septembre 2012

La sélection du mercredi (2de partie)

La bande-annonce de Le jour de la grenouille a provoqué en moi une impression familière. Autant j'apprécie grandement Josephine de Meaux qui interprète à la perfection des rôles comiques, autant les histoires d'amour au cinéma ne me font jamais rêver aussi dramatiques soient-elles.









La bande-annonce de Ombline montre une fois de plus qu'une maladie s'est répandue parmi les actrices à la jolie plastique moins douées que les autres. Ce virus à la mode consiste à incarner un personnage défendant son enfant coûte que coûte, contre le monde, les forces surnaturelles, les administrations gouvernementales, et autres ... L'aventure ne saurait se vivre avec maquillage. Après Jessica Biel avec The Secret, Melanie Thierry s'y colle dans Ombline.







La bande-annonce de La dette avait de quoi me faire déplacer en salles. Durant la première partie, j'avais quelque espoir de voir se nouer un drame à la polonaise ; l'aventure se déroulant en Pologne réglant ses comptes avec le communisme et le mazisme. Il était temps. Mais la seconde partie de l'encas promotionnel dévoile le fils, défendant son père accusé d'être un ancien agent infiltré, creusant un trou dans une maison de campagne. Comme cela, l'air de rien, on peut se méprendre. Un plan fait toute la différence. Il se peut bien que La dette se résolve "à l'américaine" : sur un mode "le père était coupable, tout le monde avait raison de l'accuser et le fils défendait son père en toute logique". Reste à savoir si le descendant déterre des preuves pour découvrir la vérité ou pour les enterrer. Un plan de trop dans cette bande-annonce qui propose peut-être une résolution d'intrigue banalisée. Sinon j'aime bien les vindictes populaires ; elles ont leurs places dans une histoire ayant un lien avec le communisme et le nazisme.

L'image ci-dessus n'est pas l'affiche du film.




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire