La sélection de Donc Acte !

Donc Acte ! ne suit pas l'actualité cinéma à la loupe. Donc Acte !, qui s'est intitulé Le cinéphobe pendant une courte période, n'a pas pour passe-temps de visionner des pelloches de cinoche. Donc Acte ! ne va pas souvent voir une œuvre en salles. L'envie est rare. Le plaisir est d'autant plus intense lorsque je suis satisfait par une rencontre du 7ème art. Certains films m'inspirent des réflexions ; c'est ce que je souhaite partager. Je ne propose pas de thèses et il m'arrive de gâcher les histoires en racontant la fin. Vu que je ne mets pas ce qui a été fait de l'invention des frères Lumière sur un piédestal et que je suis des fois moqueur, Donc Acte ! peut ne pas plaire.

mercredi 8 août 2012

La sélection sans titre du mercredi 8 Août 2012

Abraham Lincoln fight the vampires. Personnellement, je pense que cette pelloche a tout pour rassembler un noyau dur de hardcore die hard fans aux Statès qui vont entretenir un culte et tenter de prouver que les événements traités dans ce récit sont avérés. Je préfère donc attendre la sortie du livre prouvant qu'Abraham Lincoln a véritablement affronté des vampires en son temps et qu'il est de la trempe de Ron Hubbard. Ça devrait être beaucoup plus amusant.






Les anglais ont ça de récurrent qu'ils aiment le comique de situation. Se retrouver tout nu devant sa famille, porter des masques sado-maso chez ses parents alors qu'il n'y a des mecs dans la pièce, éventrer un mouton dans un salon de maison de lord, dire "nichons" lors d'un discours de garçon d'honneur sont des actions qui font apparemment la part belle à l'humour so british. Ça ressemble étrangement à l'humour de quartier populace crasso-merdo d'entre mecs déchiré au whisky-coca et à la Mounsterbrö. Il y a pas besoin d'une pseudo-"british touch" pour se foutre plein de paillardise dans le gosier.



Terri a tous les atouts d'un improbable script. Une jolie jeune femme aime un flemmard obèse qui est désocialisé. Enfin du cinéma !! Enfin du vrai fantasme !! Enfin une raison de se déplacer en salles !!

Mais je n'irais pas. D'après la bande-annonce, la pelloche a l'air d'égrainer sa durée sur un ton des plus sérieux et des plus ennuyeux.





Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare a tout pour m'attirer en salles si je trouve une nana pour m'accompagner. Mais je serais davantage intéressé par elle que par la crise de la quarantaine ("so Steve Carell !") de l'acteur de Michael Scott alias Michael Scarn. Pas de commentaires.


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