De l'aveu du scénariste Josh Friedman dans les bonus du DVD du Le Dahlia Noir de Brian de Palma adapté du roman de James Ellroy inspiré par le crime le plus atroce (sur Elisabeth Short) ayant eu lieu à Los Angeles après-seconde-guerre-mondiale, Josh Friedman ne savait pas s'il était l'homme qualifié pour transposer le roman pour le grand écran.
Les sous-titres des 2 premières photos reprennent les paroles de Josh Friedman, scénariste de Le Dahlia Noir |
Également de l'aveu de Josh Friedman (tous ces aveux ont eu lieu durant la promotion du film, c'est-à-dire "après le tournage, le montage et le mixage"), Josh Friedman raconte qu'il n'a jamais aimé les histoires terrifiantes, celles qui font peur ; en somme, l'effroi l'effraie. C'est un peu comme s'il avait dit aux spectateurs : "j'ai accepté l'offre des producteurs vu que ils me l'ont faite ... j'ai pris le fric et j'ai fait un boulot pourri." 50 000 000 de $ de budget suffit à convaincre beaucoup de monde.
Produced by
Rudy Cohen .... producer
Boaz Davidson .... executive producer
Rolf Deyhle .... executive producer
Moshe Diamant .... producer
Danny Dimbort .... executive producer
Michael P. Flannigan .... line producer
Samuel Hadida .... co-executive producer
Victor Hadida .... co-executive producer
James B. Harris .... executive producer
Manfred D. Heid .... co-executive producer (as Manfred Heid)
Henrik Huydts .... executive producer
Jochen Kamlah .... co-executive producer
John J. Kelly .... line producer: USA
Jordan Kessler .... associate producer
Gerd Koechlin .... co-executive producer
Josef Lautenschlager .... executive producer
Avi Lerner .... producer
Art Linson .... producer
Trevor Short .... executive producer
Andreas Thiesmeyer .... executive producer
John Thompson .... executive producer
Pour stars de ce teen movie stylé pompage cinéphilique de la grande époque hollywoodienne : une paire de seins et des yeux qui plissent |
Hillary Swank est contente : pour une fois, quelqu'un l'a pris pour une femme sensuelle |
Dans les bonus DVD, Brian di Palmé n'explique que ses choix en matière de casting féminin : et Scarlett Johansson avec qui il avait UNE discussion dont il se rappelait encore, et Hillary Swank qu'il voulait voir en femme fatale (ce désir dépasse mon entendement), et Mia Kirshner (que j'adore). La photo ci-dessous fait d'ailleurs sérieusement passer Brian de Palma pour un vieux lubrique qui essaie de se caser. Brian, veut-il se raccrocher désespérément aux wagons auxquels il peut toujours s'agripper ? Essaie-t-il de niquer ? Veut-il ne pas tomber dans l'oubli ? A-t-il encore des histoires à raconter ? A voir Le Dahlia Noir de Brian de Palma, j'affirme que non. Après avoir vu Snake Eyes, Mission to Mars, Redacted et Femme Fatale, je ne doute plus de sa suffisance malgré de merveilleuses intentions dans son film sur la guerre d'Irak. Les Incorruptibles (1987) et Blow Out (1981) semblent appartenir à une autre ère cinématographique du cinéaste qui s'autocite depuis deux décennies (alors qu'Alfred Hitchcock n'a rien à lui envier) et se répète jusqu'à la nausée des amateurs de l'américain (auxquels j'appartiens bon gré mal gré).
Scarlett Johansson estime que Brian de Palma a "une touche" ("a touch") immédiatement reconnaissable : où est passée la main gauche de Brian di Palmé ? |
Beau texte :)
RépondreSupprimerIl m'a coûté 1 inscrit sur facebook :D
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