La sélection de Donc Acte !

Donc Acte ! ne suit pas l'actualité cinéma à la loupe. Donc Acte !, qui s'est intitulé Le cinéphobe pendant une courte période, n'a pas pour passe-temps de visionner des pelloches de cinoche. Donc Acte ! ne va pas souvent voir une œuvre en salles. L'envie est rare. Le plaisir est d'autant plus intense lorsque je suis satisfait par une rencontre du 7ème art. Certains films m'inspirent des réflexions ; c'est ce que je souhaite partager. Je ne propose pas de thèses et il m'arrive de gâcher les histoires en racontant la fin. Vu que je ne mets pas ce qui a été fait de l'invention des frères Lumière sur un piédestal et que je suis des fois moqueur, Donc Acte ! peut ne pas plaire.

mardi 16 août 2011

The Informers : Amber Heard topless

Mardi 16 Août 2011
Jour

The Informers, Gregor Jordan, 2008, USA.

Ce film adapté d'un roman de Bret Easton Ellis s'attarde sur un groupe de quelques riches personnalités californiennes et de leurs enfants qui vaquent à des histoires de sexe et de drogue en reproduisant le modèle parental sur une musique du genre Joy Division. L'auteur littéraire américain Ellis continue de scruter la face obscure des 80's.

Trois intérêts à ce film :

1. un casting fourni : Billy Bob Thornton, Kim Basinger, Mickey Rourke, Winona Ryder et un atout que je garde dans ma manche.

2. le récit s'achève sur l'image d'une belle blonde mourant d'overdose sur une plage de sable fin. Le cliché des pubs US période yuppie que Ellis n'a pas digéré est bien renversé pour souligner le propos.


3. La belle blonde est interprétée par Amber Heard. Cet été (lien avec la plage), je suis en plein cycle Amber Heard. J'ai regardé And soon the Darkness. J'ai chroniqué The Ward, Drive Angry, All the Boys Love Mandy Lane. Dans The Informers, Amber est topless.


Je me demande donc ce qu'il me reste à espérer de cette vie maintenant que j'ai vu les seins d'Amber Heard dans The Informers. Ces magnifiques mamelles de lactation d'Amber et ceux d'Alice Eve à trouver sur internet soulignent le fait que ces actrices ont joué dans de très mauvais films et qu'il a fallu une série de bouts de pellicule de merde pour me rincer l’œil. Ça n'en valait pas la peine. Heureusement, les seins de Kirsten Dunst dans Melancholia, ceux de Nicole Kidman dans Dead Calm et sur internet, ceux de Maria Bonnevie dans I am Dina, ceux d'Isabelle Carré sur internet, ceux de Trine Dyrholm dans Festen et Forbrydelser (full frontal), ceux de Naomi Watts dans Mulholland Drive et sur internet rappellent que ces actrices ont du talent, qu'elles jouent dans des bons films (voir des chefs d’œuvre) et qu'il ne faut donc pas rabaisser les femmes qu'à des paires de seins. Fin du spleen, je vais relativiser et me concentrer sur l'essentiel : les excellents films à venir de toutes ces actrices, ainsi que ceux d'Amy Adams et de Brooklyn Decker qui, elles, ne se sont pas encore découvertes.

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